Ce qui est bien avec le Roi en Jaune, c'est qu'on a toujours une bonne idée de quelle couleur le peindre. Je suis pas trop sûr pour le petit gimp à sa gauche, mais je pense que c'est son Héraut, le Fantôme de Vérité.
Quand les vagues s’écrasent le long des berges
Quand sous le lac s’enfoncent les jumeaux
À Carcossa les ombres émergent.
Étrange, ces nuits aux étoiles sans faisceaux,
Au cieux parsemés de lunes d’effroi
Mais plus étrange encore tu trouveras
La cité oubliée de Carcossa.
Les chants qu’on y trouve, venus de nulle voix
Là où se tortillent les lambeaux du Roi
Ne doivent être entendus en Carcossa.
Chant de mon âme, ma voix s’en est allée
Meurt jamais chanté, comme larme jamais versée
Mmmm, ça donne le goût de jouer à Insylum. Je l'ai relu récemment et le background m'accroche toujours autant. N'importe quel fan du Labyrinthe de Pan devrait aimer, ou Little Fear, si c'est plus le côté "horreur domestique" et moins l'aspect violent de la chose qui l'attire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire