dimanche 31 août 2008
Barbe-Noire
Il a de petits airs de Barbe-Noire celui-là! C’est mon dernier pirate avant ravitaillement, qui devra être bien songé si je veux pouvoir faire quelques chose de cette poignée de flibustiers. Je lui ai donné des couleurs plus sombres pour en faire un méchant. J’ai de la difficulté avec les bases intégrées que Reaper a donné à ses pirates plus récents. Les planches de bois, c’est super bien, mais pourquoi avoir mis en dessous de la genre de mousse piquetée? Les planches flottent sur l’eau? Sont déposées sur le gazon pour une photo dans un parc d’attraction? Je comprends pas trop. Si quelqu’un sait ce que c’est censé représenter, dites-le moi et je me ferai un plaisir de revenir les peindre. Tout pour que cessent les cauchemars! Il était bien amusant à peindre quoi qu’un peu rapide étant donné le schéma de couleurs très simple.
Pratique de base
3 pirates de Reaper. Une humaine un peu trop joyeuse à mon goût, une flibustière demi-elfe avec singe et fusil rotatif puis un unijambiste avec perroquet. Ça me fait penser au LDVEH de pirates, je gaspillais tout mon or à m’acheter des animaux, alors j’ai dû me payer parmi les moins bons bateaux pour la bataille de la fin. Nous, les pirates, on aime bien la zoologie.
À l’origine, je voulais simplement me faire une pratique de bases pour Mordheim avec la pirate humaine. Elle avait un tout petit socle intégré en pierres que je voulais étendre à la base au complet. En fin de compte, c’est facile à faire avec mes supers outils de dentiste ou même avec l’exacto, ça devrait aller tant que c’est bien mouillé. Comme ça s’est bien passé, j’ai décidé de revenir à ma corsaire pour lui faire une base de sable puis utiliser quelques brindilles et un bout de hache pour une belle plage pleine de débris pour la demi-elfe.
J’ai commencé par peindre l’unijambiste parce que j’avais hâte de drybrusher le perroquet… avec le recul, je ne sais pas si c’était une bonne idée le manteau gris, ça le rends très terne même si tous les pirates ne peuvent être extravagants. Encore moins l’unijambiste mystérieux avec la carte au trésor. Mais bon, le perroquet est cool, c’est ce qui compte. Braaawk!
La demi-elfe est passée au pinceau ensuite. Je voulais mettre un peu plus d’effort que d’habitudes dessus, alors je lui ai fait des pantalons rayés et des petites fioritures à thème vaguement maritimes sur son corset. Sur le coup, les cheveux blancs-bleus me semblaient une bonne idée, prouvant hors de tout doute son sang mêlé, mais à la photo, ça a juste l’air blanc. C’est à cause de ma petite lampe rouge de table, elle déforme les couleurs, surtout les bleus. Ya probablement une théorie des couleurs là-dessus, mais bon, j’ai pas trop écouté dans ce labo de physique là, la noirceur m’endormait.
Comme le podcast de D6 Generation sur la critique de W40K 5e édition était toujours pas terminé, j’ai entrepris de travailler sur l’humaine joyeuse. C’est possiblement une figurine discontinuée, je suis pas certain, mais sa pose est si statique que ça ne devrait tarder. Je trippe pas trop sur sa machette non plus. Bref, au lieu de lui faire une carte à elle aussi, je lui ai fait un genre de lettre patente. Faut piller les navires Prussinaniques au nom de la reine! Elle a un peu l’air d’un commissar. Faudra que je teste un jour si en la mettant dans mon armée impériale, quelqu’un fait le remarque.
À l’origine, je voulais simplement me faire une pratique de bases pour Mordheim avec la pirate humaine. Elle avait un tout petit socle intégré en pierres que je voulais étendre à la base au complet. En fin de compte, c’est facile à faire avec mes supers outils de dentiste ou même avec l’exacto, ça devrait aller tant que c’est bien mouillé. Comme ça s’est bien passé, j’ai décidé de revenir à ma corsaire pour lui faire une base de sable puis utiliser quelques brindilles et un bout de hache pour une belle plage pleine de débris pour la demi-elfe.
J’ai commencé par peindre l’unijambiste parce que j’avais hâte de drybrusher le perroquet… avec le recul, je ne sais pas si c’était une bonne idée le manteau gris, ça le rends très terne même si tous les pirates ne peuvent être extravagants. Encore moins l’unijambiste mystérieux avec la carte au trésor. Mais bon, le perroquet est cool, c’est ce qui compte. Braaawk!
La demi-elfe est passée au pinceau ensuite. Je voulais mettre un peu plus d’effort que d’habitudes dessus, alors je lui ai fait des pantalons rayés et des petites fioritures à thème vaguement maritimes sur son corset. Sur le coup, les cheveux blancs-bleus me semblaient une bonne idée, prouvant hors de tout doute son sang mêlé, mais à la photo, ça a juste l’air blanc. C’est à cause de ma petite lampe rouge de table, elle déforme les couleurs, surtout les bleus. Ya probablement une théorie des couleurs là-dessus, mais bon, j’ai pas trop écouté dans ce labo de physique là, la noirceur m’endormait.
Comme le podcast de D6 Generation sur la critique de W40K 5e édition était toujours pas terminé, j’ai entrepris de travailler sur l’humaine joyeuse. C’est possiblement une figurine discontinuée, je suis pas certain, mais sa pose est si statique que ça ne devrait tarder. Je trippe pas trop sur sa machette non plus. Bref, au lieu de lui faire une carte à elle aussi, je lui ai fait un genre de lettre patente. Faut piller les navires Prussinaniques au nom de la reine! Elle a un peu l’air d’un commissar. Faudra que je teste un jour si en la mettant dans mon armée impériale, quelqu’un fait le remarque.
samedi 30 août 2008
Corsair-illa
Je débute enfin mes pirates de Reaper, ça a été long. Comme d'habitudes, les figurines sont chouettes, mais j'ai pas la moindre idée du choix de couleurs. Je me suis dit que ce serait drôle d'en faire un genre de corsaire plutôt qu'une pirate. Puis que ce serait encore plus drôle de lui donner un habit de pimp. Je pourrai faire mes autres pirates de façon plus classique.
Bon, c'est sûr que c'est surtout des capitaines que j'ai, mais avec les Bone marines et possiblement un ou deux blisters de Razig, il est possible de faire un chouette scénario à la Gloire.
Bon, c'est sûr que c'est surtout des capitaines que j'ai, mais avec les Bone marines et possiblement un ou deux blisters de Razig, il est possible de faire un chouette scénario à la Gloire.
vendredi 29 août 2008
Rangerina
Une rôdeuse de RAFM, une de leur vieilles figurines, donc fermement à l’échelle 25mm. Ce qui donne une rôdeuse halfling avec pigeon apprivoisé! Elle est pas enveloppée parcequ’elle défends la nature, bon. Une hobbit végétarienne. C’est pas une très belle sculpture, mais facile à peindre et j’ai aimé le défi de devoir l’améliorer avec ma peinture au lieu du paradigme habituel de ne pas trop la dégrader avec ma peinture. Les jambes presque rectangulaires présentaient un beau défi. J’ai essayé de les arrondir avec du brun plus clair, mais bon… en tout cas, de loin, c’est bien. Elle avait deux mystérieux trous dans le haut des cheveux, peut-être pour une barette qui se serait perdue dans le bac des figurines en rabais que j’affectionne tant. Je me suis contenté de boucher ça avec un peu de pro-create. Pas trop de commentaires sur l’oiseau. Pas grand chose à faire de deux sphères superposées sans la moindre surface pour faire des ailes ou des plumes.
J’ai aussi dû la peindre dans des conditions extrêmes, puisqu’une tempête s’est déchaînée sur Ouaga, faisant lâcher les lumières toutes les 15 minutes et me forçant à me rabattre sur la frontale. C’est chaud se mettre une lumière sur la tête au Burkina Faso, même quand il pleut.
Ma lecture avec thé bien dilettante de fin de soirée a donc dû être remplacée par l’écoute de quelques podcasts, heureusement mis sur le mp3 pendant la journée. C’est bien The D6 Generation. Comme ils le mentionnent fièrement, l’humour « n’est pas trop horrible ». C’est très geek comme blague et parfois un peu salé, mais ce sont de bons pères de famille près de la quarantaine, alors on sent que c’est juste un peu d’autodérision, rien de bien méchant. Ça aide aussi à accepter les sujet qui seraient parfois un peu plus arides sur d’autres podcasts, comme les discussions sur les systèmes de règles. Au début, je trouvais dommage que l’essentiel de leurs commentaires n’avaient traits qu’à Warmachine ou à Warhammer, mais l’intérêt de leur contenu réside surtout dans la périphérie du hobby. Les attitudes des joueurs, comment ils s’organisent pour tenter de jouer, ce qui les obsède, ce qui les unit etc… c’est d’ailleurs très bien incarné dans la chronique « did you ever notice? ». Bref, je retournerai télécharger en prévision de la prochaine coupure électrique.
J’ai aussi dû la peindre dans des conditions extrêmes, puisqu’une tempête s’est déchaînée sur Ouaga, faisant lâcher les lumières toutes les 15 minutes et me forçant à me rabattre sur la frontale. C’est chaud se mettre une lumière sur la tête au Burkina Faso, même quand il pleut.
Ma lecture avec thé bien dilettante de fin de soirée a donc dû être remplacée par l’écoute de quelques podcasts, heureusement mis sur le mp3 pendant la journée. C’est bien The D6 Generation. Comme ils le mentionnent fièrement, l’humour « n’est pas trop horrible ». C’est très geek comme blague et parfois un peu salé, mais ce sont de bons pères de famille près de la quarantaine, alors on sent que c’est juste un peu d’autodérision, rien de bien méchant. Ça aide aussi à accepter les sujet qui seraient parfois un peu plus arides sur d’autres podcasts, comme les discussions sur les systèmes de règles. Au début, je trouvais dommage que l’essentiel de leurs commentaires n’avaient traits qu’à Warmachine ou à Warhammer, mais l’intérêt de leur contenu réside surtout dans la périphérie du hobby. Les attitudes des joueurs, comment ils s’organisent pour tenter de jouer, ce qui les obsède, ce qui les unit etc… c’est d’ailleurs très bien incarné dans la chronique « did you ever notice? ». Bref, je retournerai télécharger en prévision de la prochaine coupure électrique.
Steam Vampire
La dernière de mes figurines en résine de la petite boîte « Puissances des Ténèbres » de Dungeon Twister. Un jeu que je ne connais pas beaucoup, mais dont j’ai un peu entendu parler. De ce que j’ai retenu, c’est un genre de dungeoncrawl sans DM, où chaque joueur a un bassin de 8 personnages ayant exactement les mêmes capacités pour réussir un donjon avant son adversaire. Il y a des extensions pour passer à 3 ou 4 joueurs, des extensions avec des pièces supplémentaires et d’autres, comme ma boîte, pour des figurines 3D supplémentaires. Descent a quand même l’air plus cool.
La figurine était bien amusante à peindre, comme presque toujours. C’est un thème inhabituel pour un vampire. Je sais pas pourquoi, mais j’avais pas envie de mettre du sang dans sa bonbonne, trop facile. Alors j’ai mis du bleu métallique… soit que sa bonbonne est vide, soit que c’est un succédané synthétique à base, euh… d’oxyde de cuivre? En tout cas, ça me permettait de lui faire une cape rouge sans que ça ne devienne trop redondant. Les cheveux blonds sont un ajout pour faire changement de mes autres vampires qui ont tous les cheveux noirs comme leur cœur.
Je pense avoir trouvé une très bonne solution à mon problème de bases pour Mordheim. Je vais accumuler les 25 francs (0,05$) qui me tombent entre les mains et ne servent à rien, ajouter une couche de putty et faire une base en dalles de pierre. Les 25 francs sont légèrement plus grands qu’une base ronde standard GW. La pièce de 100 francs a la taille parfaite, mais c’est une monnaie utilisable, alors je veux pas la « gaspiller » de la sorte.
La figurine était bien amusante à peindre, comme presque toujours. C’est un thème inhabituel pour un vampire. Je sais pas pourquoi, mais j’avais pas envie de mettre du sang dans sa bonbonne, trop facile. Alors j’ai mis du bleu métallique… soit que sa bonbonne est vide, soit que c’est un succédané synthétique à base, euh… d’oxyde de cuivre? En tout cas, ça me permettait de lui faire une cape rouge sans que ça ne devienne trop redondant. Les cheveux blonds sont un ajout pour faire changement de mes autres vampires qui ont tous les cheveux noirs comme leur cœur.
Je pense avoir trouvé une très bonne solution à mon problème de bases pour Mordheim. Je vais accumuler les 25 francs (0,05$) qui me tombent entre les mains et ne servent à rien, ajouter une couche de putty et faire une base en dalles de pierre. Les 25 francs sont légèrement plus grands qu’une base ronde standard GW. La pièce de 100 francs a la taille parfaite, mais c’est une monnaie utilisable, alors je veux pas la « gaspiller » de la sorte.
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mercredi 27 août 2008
Nécrolad
Deux autre de mes figurines de Fenryll, un nécromant et une ghoule, probablement son assistant et compagnon maltraité. À force de lire des trucs de Mordheim, je me suis donné le goût de les peindre. Je sais pas pourquoi, mais le nécromant m’intimidait, il semblait plein de petits détails. En fin de compte, c’est plutôt l’inverse, il a beaucoup de grandes surfaces planes et les fioritures n’ont demandé qu’un petit wash par dessus une couche paresseuse de métallique. J’étais hésitant entre faire un effet de lumière ou faire du freehand pour mettre plein d’écritures sur sa toge. La lumière c’est plus drôle, un petit Bodaï créateur de morts-vivants. J’avoue qu’en y repensant, j’aurais pu combiner les deux idées, mais bon, ça aurait peut-être été trop chargé.
On a aussi fait une première partie des Colons de Catane avec un Burkinabé, qui était bien hilare du thème villageois de moutons et de briques d’argile. Il a gagné en plus, c’est beau la chance du débutant. Je me dis toujours que je devrais commencer par montrer Thurn and Taxis, question de faire changement, mais les Colons, c’est si facile comme introduction. Il venait offrir une petite dégustation de thé à notre amie avant son départ. À mon arrivée j’avais de la misère avec ce thé hyper-concentré et très sucré, mais je m’y habitue de plus en plus. Notre amie a de la famille marocaine et à son avis, le thé Burkinabé est une coche supérieure dans l’échelle de l’intensité.
On a aussi fait une première partie des Colons de Catane avec un Burkinabé, qui était bien hilare du thème villageois de moutons et de briques d’argile. Il a gagné en plus, c’est beau la chance du débutant. Je me dis toujours que je devrais commencer par montrer Thurn and Taxis, question de faire changement, mais les Colons, c’est si facile comme introduction. Il venait offrir une petite dégustation de thé à notre amie avant son départ. À mon arrivée j’avais de la misère avec ce thé hyper-concentré et très sucré, mais je m’y habitue de plus en plus. Notre amie a de la famille marocaine et à son avis, le thé Burkinabé est une coche supérieure dans l’échelle de l’intensité.
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mardi 26 août 2008
Les mondes de l'Aleph
Un petit livre dont vous êtes le héros, Les Mondes de l'Aleph. D'un côté, c'était bien original, avec la possibilité de voyager entre les mondes et une règle bien faite pour voir si des entitées traqueuses te repèrent au cours de tes aventures, selon que tu te fais remarquer ou non. De l'autre, c'était parfois difficile à suivre et j'avais l'impression que j'étais en fasse de différents fragments de LDVEH pas assez importants pour faire un seul livre. C'était aussi extrêmement facile. Je n'ai eu que deux combats et chaque fois, c'était plus une question de survivre deux ou trois rounds avant que je puisse changer de monde en utilisant l'Aleph. Ya même pas eu de combat à la fin. Je suis pas un grand fan de baston, mais bon... c'est pas comme si je roulais tellement de dés ces temps-çi!
lundi 25 août 2008
Les Lions des Montagnes Noires
J'ai rapidement lu les règles question de monter quelque chose de légal. Il me reste à trouver les noms individuels, à peindre et à mettre la main sur les 3 hobbits manquants. Le Youngblood sera mon hobbit inquisiteur, idéal pour l'ambiance de Mordheim.
Sauf si je profite des services d'un FLGS, il me manque le décor. Heureusement, je crois avoir maintenant assez de miniatures pour laisser un peu de côté les figurines à mon retour et fabriquer du terrain. D'ailleurs, rapidement comme ça, j'ai ce qu'il faut pour les 3 bandes humaines, les chasseurs de trésor nains et les morts-vivants (mes super ghoules!).
Mordheim n'est peut-être pas le jeu le plus récent, mais il me semble bien fait et très prenant. Les règles de xps et les campagnes, c'est ce qu'il y a de cool avec les jeux de skirmish. J'aime mieux la science-fiction, mais en attendant de me commander plus de Dark Age, Mordheim fera très bien l'affaire.
- Capitaine (Héro) Épée, pistolet de duel, dague 95 couronnes
- Sergent (Héro) Épée à deux mains, dague 50 couronnes
- Youngblood (Héro) Épée, massue, dague 28 couronnes
- Bergjaeger (Héro) arc long, dague 50 couronnes
- Bergjaeger (Héro) arc long, dague 50 couronnes
- 3 Halfling Scouts arc, dague 90 couronnes
- 3 Mountainguards lance de fantassin, bouclier, dague 135 couronnes
Sauf si je profite des services d'un FLGS, il me manque le décor. Heureusement, je crois avoir maintenant assez de miniatures pour laisser un peu de côté les figurines à mon retour et fabriquer du terrain. D'ailleurs, rapidement comme ça, j'ai ce qu'il faut pour les 3 bandes humaines, les chasseurs de trésor nains et les morts-vivants (mes super ghoules!).
Mordheim n'est peut-être pas le jeu le plus récent, mais il me semble bien fait et très prenant. Les règles de xps et les campagnes, c'est ce qu'il y a de cool avec les jeux de skirmish. J'aime mieux la science-fiction, mais en attendant de me commander plus de Dark Age, Mordheim fera très bien l'affaire.
Bobo
L’internet semble fonctionner, alors faut retourner voir ma kickass épée!
On a profités de notre dernier week-end de visite avant longtemps pour aller à Bobo-Dioulasso, dans l’ouest du Burkina. C’est effectivement plus vert et beaucoup plus humide que Ouaga et je dois admettre que j’y ai mieux mangé. Les grosses cuisses de grenouilles fraîches de la nouvelle canne d’or m’ont beaucoup impressionnées ainsi que le poulet Rabilet (poulet à la levure de bière) du Campagnard. Je vais devoir couper un peu dans les calories. Même le Dolo, qui ne m’avait à l’origine pas impressionné tant que ça m’a semblé particulièrement bon, à la fabrique traditionnelle du quartier animiste. Au pifomètre, je juge son taux d’alcool à 9%. Le festival du Chitoumou (chenilles) battait encore son plein, mais moi, ça m’intéressait pas trop. Pas de problème avec les sauterelles de l’insectarium, mais là, yavait trop de truc crémeux à l’intérieur. L’idée d’en faire un sandwich avec de la mayo ou une soupe ne m’ont pas séduit non plus.
Je peux pas dire que Bobo est aussi exceptionnelle que les guides le disent mais ça semble effectivement une ville plus facile à apprivoiser que Ouaga pour un touriste. Le problème, c’est justement que c’est un peu trop touristique à mon goût, un peu comme Chiang-May en Thaïlande. J’aime mieux Ouaga (ou Bangkok). C’est plus vivant, plus organique et moins orienté vers les boutiques-souvenirs. Plus chaud, chaotique et poussiéreux, mais bon…
On a aussi essayé de faire les attractions du secteur de Bobo, mais il pleuvait trop fort pour aller voir les chutes et formations géologiques de Banfora. Les champs de canne à sucre étaient bien jolis, mais la saison des pluies a chassé les hippopotames loin des berges. Je me suis tout de même réjoui de ma pêche au crocodile à la mémoire de M Irwin. C’est chouette un crocodile, ça joue bien mieux au tire-corde qu’un chien. C’est plus fort, ça grogne pas et ça se tourne sur le ventre dans des manœuvres surprises pour partir avec le poulet.
On a profités de notre dernier week-end de visite avant longtemps pour aller à Bobo-Dioulasso, dans l’ouest du Burkina. C’est effectivement plus vert et beaucoup plus humide que Ouaga et je dois admettre que j’y ai mieux mangé. Les grosses cuisses de grenouilles fraîches de la nouvelle canne d’or m’ont beaucoup impressionnées ainsi que le poulet Rabilet (poulet à la levure de bière) du Campagnard. Je vais devoir couper un peu dans les calories. Même le Dolo, qui ne m’avait à l’origine pas impressionné tant que ça m’a semblé particulièrement bon, à la fabrique traditionnelle du quartier animiste. Au pifomètre, je juge son taux d’alcool à 9%. Le festival du Chitoumou (chenilles) battait encore son plein, mais moi, ça m’intéressait pas trop. Pas de problème avec les sauterelles de l’insectarium, mais là, yavait trop de truc crémeux à l’intérieur. L’idée d’en faire un sandwich avec de la mayo ou une soupe ne m’ont pas séduit non plus.
Je peux pas dire que Bobo est aussi exceptionnelle que les guides le disent mais ça semble effectivement une ville plus facile à apprivoiser que Ouaga pour un touriste. Le problème, c’est justement que c’est un peu trop touristique à mon goût, un peu comme Chiang-May en Thaïlande. J’aime mieux Ouaga (ou Bangkok). C’est plus vivant, plus organique et moins orienté vers les boutiques-souvenirs. Plus chaud, chaotique et poussiéreux, mais bon…
On a aussi essayé de faire les attractions du secteur de Bobo, mais il pleuvait trop fort pour aller voir les chutes et formations géologiques de Banfora. Les champs de canne à sucre étaient bien jolis, mais la saison des pluies a chassé les hippopotames loin des berges. Je me suis tout de même réjoui de ma pêche au crocodile à la mémoire de M Irwin. C’est chouette un crocodile, ça joue bien mieux au tire-corde qu’un chien. C’est plus fort, ça grogne pas et ça se tourne sur le ventre dans des manœuvres surprises pour partir avec le poulet.
jeudi 21 août 2008
Feu et Assamite
Tête de mort, tête de mort, avec du feu!
Nous autre on travaille pour Sataaan
Pis c'est pas ben ben,
Pas ben ben payant!
J'en avais parlé et comme je veux autant que possible ne parler que de trucs qui vont se réaliser sur ce blogue, voilà! Du feu pour Arioch, prince des démons! C'est sûr que les flammes ne sont pas très hautes pour du 28mm, mais quel inferno pour du 6mm! C'est vrai que c'est bien plus beau une figurine avec une vraie base. Maintenant que l'essentiel de ma collection est peinte, au retour, je pourrai me mettre là-dessus.
En tout cas, je pensais depuis un bout de temps m'acheter les jetons d'explosion de Litko Aerosystems pour faire la suppression à Épic, mais je suis tenté de les faire moi-même maintenant. Ça va super vite, c'est économique et c'est encore plus joli. Le seul problème, comme pour les Averlandais que j'ai commencé à monter, c'est que je n'ai pas de bases. Comme bien d'autres choses à Ouaga, j'ai pas la moindre idée où je pourrais me procurer quelque chose qui ferait l'affaire. En fait, à part pour les patates et l'essence, j'ai pas la moindre idée d'où les choses proviennent. 50% de nos achats doivent passer par des marchands ambulants/nomades!
En parlant de nomades, j'ai fait mon premier achat d'artisanat avant de partir au pays Dogon. Un Touareg qui n'a pas dû avoir une bonne journée nous a soldé ses épées à prix incroyable (il y avait du monde à table avec plus de 5 ans au pays. On connaît les prix). J'ai donc pu me permettre de ne pas acheter le modèle ultra-cheap pour touriste. C'est la seule dont j'étais presque certain que la lame n'était faite dans une latte d'amortisseur et dont le cuir de chameau semblait de meilleure qualité. Il y a donc une certaine possibilité d'authenticité, malgré le prix de 20$. Puis même si ce n'était pas une lame forgée (où sont mes microstructures quand j'en ai besoin), juste pour la taille et la masse, ça valait la peine. Enfin, mon rève de jouer un assamite silencieux au fond d'une pièce pourra se réaliser pleinement. Quietus, man, Quietus.
Nous autre on travaille pour Sataaan
Pis c'est pas ben ben,
Pas ben ben payant!
J'en avais parlé et comme je veux autant que possible ne parler que de trucs qui vont se réaliser sur ce blogue, voilà! Du feu pour Arioch, prince des démons! C'est sûr que les flammes ne sont pas très hautes pour du 28mm, mais quel inferno pour du 6mm! C'est vrai que c'est bien plus beau une figurine avec une vraie base. Maintenant que l'essentiel de ma collection est peinte, au retour, je pourrai me mettre là-dessus.
En tout cas, je pensais depuis un bout de temps m'acheter les jetons d'explosion de Litko Aerosystems pour faire la suppression à Épic, mais je suis tenté de les faire moi-même maintenant. Ça va super vite, c'est économique et c'est encore plus joli. Le seul problème, comme pour les Averlandais que j'ai commencé à monter, c'est que je n'ai pas de bases. Comme bien d'autres choses à Ouaga, j'ai pas la moindre idée où je pourrais me procurer quelque chose qui ferait l'affaire. En fait, à part pour les patates et l'essence, j'ai pas la moindre idée d'où les choses proviennent. 50% de nos achats doivent passer par des marchands ambulants/nomades!
En parlant de nomades, j'ai fait mon premier achat d'artisanat avant de partir au pays Dogon. Un Touareg qui n'a pas dû avoir une bonne journée nous a soldé ses épées à prix incroyable (il y avait du monde à table avec plus de 5 ans au pays. On connaît les prix). J'ai donc pu me permettre de ne pas acheter le modèle ultra-cheap pour touriste. C'est la seule dont j'étais presque certain que la lame n'était faite dans une latte d'amortisseur et dont le cuir de chameau semblait de meilleure qualité. Il y a donc une certaine possibilité d'authenticité, malgré le prix de 20$. Puis même si ce n'était pas une lame forgée (où sont mes microstructures quand j'en ai besoin), juste pour la taille et la masse, ça valait la peine. Enfin, mon rève de jouer un assamite silencieux au fond d'une pièce pourra se réaliser pleinement. Quietus, man, Quietus.
mercredi 20 août 2008
Podcast
Des podcasts, il y en a de plus en plus et j'ai de la misère à me rappeler où les trouver. Puis que ce soit dans la file d'attente pour payer l'eau ou juste sur le balcon en nourrissant les moustiques, ça fait passer le temps. Ou ça rehausse le temps constructif en occupant le cerveau pendant de la peinture en chaîne.
Mon favori est sans conteste celui de va chercher le fusil, ma dose hebdomadaire de culture trash québécoise. C'est aussi malheureusement le seul en français que j'ai trouvé à date. Si vous connaissez de bons podcasts de gaming, faut me les envoyer!
J'aimais beaucoup All about miniatures, mais c'est malheureusement mort. Les anciens épisodes sont quand même chouettes. C'était centré sur les figurines, mon type de wargame favori.
Point 2 Point est un podcast très approfondi et bien fait sur les wargames (sans miniatures). Les épisodes sont long et fouillés, le dernier épisode atteignant 3 heures 30! Ils avaient aussi autrefois une chronique sur les "règles qu'un wargamer doit respecter", question d'améliorer notre étiquette. C'était vraiment bien et j'essaie de les appliquer. Ca touchait à tout, du syndrome du Kingmaker en passant par l'importance de ne pas blâmer le hasard et l'élémentaire galanterie requise du wargamer. Même si les sujets sont parfois un peu aride, c'est le standard de qualité de contenu que tous les podcasts devraient rechercher.
What Are You Working On est le podcast d'un groupe d'amis gamers qui se racontent ce qu'ils font dernièrement. Je crois que ça vise surtout les gens comme moi, éloignés de la "scène". C'est pas toujours très pertinent, ça déblatère un peu, mais ça fait du bien comme une poutine ou MC Gilles. D'ailleurs, je croyais que la poutine commençait à être connue en france, mais nos inquisitives amies bretonnes n'en avaient qu'une vague vision, que je tenterai de corriger dès que Ouaga est ravitaillé en mozzarella.
Meeples and Miniatures est un autre très bon podcast, mais j'oublie super souvent d'y jeter un coup d'oreille, alors je sais même pas comment c'est en ce moment. Je sais qu'il est populaire et très apprécié et je me rapelle que j'aimais bien sauf quand ça parlait d'eurogame. Je vais essayer de m'y remettre dès demain.
Enfin, deux autres que j'aimerais découvrir (oui, il y a pas mal de délais et temps d'attente en afrique), c'est d'abord The D6 Generation, connu pour son humour et la chronique "When the Wife Attacks". This Week in Wargaming me semble bien avec son contenu orienté figurines, mais ça semble surtout couvrir les "grosses" compagnies qui m'intéressent moins. Je ne suis pas un fan de Privateer Press ou de Rackam. Puis même GW, c'est juste les trucs de Specialist qui à mon avis méritent discussion.
Autrefois, j'écoutais pas mal le podcast de Indy Press Revolution, mais la qualité du son était si horrible que j'ai abandonné. C'est triste parceque les sujets me plaisent beaucoup. Je vais peut-être me risquer à nouveau. Télécharger des podcasts ne revient pas trop cher après tout... Comme le titre l'indique, ça discutte des rpgs moins connus et plus originaux qui peuvent se trouver sur le marché depuis la modernisation de l'imprimerie. Ce podcast est une excellente ressource pour leurs DMs, qui on souvent peu d'exemples de jeu ou d'explications par les concepteurs de certains aspect de leur jeu. Il leur arrive évidemment de discuter de trucs plus connus, mais pour tout ce qui est exotique et excitant, c'est le meilleur download que j'ai trouvé.
mardi 19 août 2008
Pays Dogon
C'est bien beau les petits soldats de plomb et les discussions sur l'organisation du travail, mais des fois, faut sortir un peu de Ouagadougou et voir le monde. On a profités de la visite d'une amie pour louer un 4x4 et aller faire de la randonnée au pays Dogon, au Mali. En gros, c'est une région isolée dans une vallée, protégée par une falaise qui capte un peu plus de précipitations que les régions voisines.
Les chemins sont praticables en camion jusqu'au petit village de Teli, qui est assez populaire à cause de sa chute d'eau. Les falaises à cet endroit comportent aussi les habitations d'un peuple plus ancien (et à mon avis probablement mythologique), les Telem. Les Dogons les ont chassés, mais c'était censé être un peuple de pygmés avec de grands pouvoirs magiques, dont la capacité de sauter très haut et loin. Juste pour ce village, le pays Dogon mérite le détour. Le reste, c'est surtout un trip de paysages et peut-être un peu d'artisanat.
Après Teli, on a traversés rivières, chemins, petits villages et champs pour atteindre Endé, où on a passés la nuit. Surprenamment, on ne nous demandait pas d'argent en chemin, mais des bouteilles d'eau vides ou des noix de Kola, qui sont censées être hallucinogènes. On nous a aussi demandés de soigner une fille avec un pied gangrené, mais il y a une limite à ce que la Bétadine peut faire... en tout cas, on a essayés de les convaincre de l'ammener au poste de santé du village précédent.
Pour en revenir à la nuit, je dois admettre que le guide avait raison, c'est vraiment bien. Non seulement on a été assez chanceux pour que ça tombe sur une nuit de pleine lune, mais il y a eu des étoiles filantes et un impressionnant ballet de libellules pour la sortie des éphémères. C'est certain que les installations sont sommaires, mais il y avait une douche et le décor de la falaise la nuit et du départ pour le marché valaient bien le dérangement du cri des ânes. Puis on a eu des beignets pour déjeuner, avec notre petit pot de Nutella, difficile de ne pas être satisfaits.
Donc le lendemin, on a escaladés la falaise pour éventuellement rejoindre notre 4x4 qui était heureusement au rendez-vous et au bon endroit, au milieu de paturages à chèvres. Après ravitaillement, on a continués notre chemin jusqu'à Mopti, où passe le fleuve Niger. C'était un peu trop cher pour faire un petit tour de pinasse et trop long l'utiliser pour rejoindre Tombouctou, alors on s'est contentés de l'ambiance et du marché. On a aussi assistés à un concert de musique Malienne qui était très bien et pu manger du poisson frais, ce qui commençait à me manquer. J'en profite pour donner toutes mes félicitations à l'ambassadrice d'espagne, qui s'est illustrée sur le plancher de danse.
En rétrospective, on a plutôt bien faits de louer un camion (même si ça aurait été incroyable en moto). Juste en revenant, on a donné un coup de main à deux touristes françaises prises à Mopti entre les mains de gens peu recommandables et ensuite à 3 Peace Corps en panne-sèche au milieu de nulle part. C'est aussi plus facile de négocier les "contrôles touristiques" de la gendarmerie Malienne avec un bon chauffeur. D'ailleurs merçi à Issiaka, qui nous a été recommandé par des amis. Je vous mettrai en contact si vous voulez l'embaucher cette année! Un très bon cuisinier et un excellent mécano. Quand le fil de la pompe à essence a lâché, il a juste pris le fil de la radio pour brancher ça direct sur la batterie. Impressionant.
Les chemins sont praticables en camion jusqu'au petit village de Teli, qui est assez populaire à cause de sa chute d'eau. Les falaises à cet endroit comportent aussi les habitations d'un peuple plus ancien (et à mon avis probablement mythologique), les Telem. Les Dogons les ont chassés, mais c'était censé être un peuple de pygmés avec de grands pouvoirs magiques, dont la capacité de sauter très haut et loin. Juste pour ce village, le pays Dogon mérite le détour. Le reste, c'est surtout un trip de paysages et peut-être un peu d'artisanat.
Après Teli, on a traversés rivières, chemins, petits villages et champs pour atteindre Endé, où on a passés la nuit. Surprenamment, on ne nous demandait pas d'argent en chemin, mais des bouteilles d'eau vides ou des noix de Kola, qui sont censées être hallucinogènes. On nous a aussi demandés de soigner une fille avec un pied gangrené, mais il y a une limite à ce que la Bétadine peut faire... en tout cas, on a essayés de les convaincre de l'ammener au poste de santé du village précédent.
Pour en revenir à la nuit, je dois admettre que le guide avait raison, c'est vraiment bien. Non seulement on a été assez chanceux pour que ça tombe sur une nuit de pleine lune, mais il y a eu des étoiles filantes et un impressionnant ballet de libellules pour la sortie des éphémères. C'est certain que les installations sont sommaires, mais il y avait une douche et le décor de la falaise la nuit et du départ pour le marché valaient bien le dérangement du cri des ânes. Puis on a eu des beignets pour déjeuner, avec notre petit pot de Nutella, difficile de ne pas être satisfaits.
Donc le lendemin, on a escaladés la falaise pour éventuellement rejoindre notre 4x4 qui était heureusement au rendez-vous et au bon endroit, au milieu de paturages à chèvres. Après ravitaillement, on a continués notre chemin jusqu'à Mopti, où passe le fleuve Niger. C'était un peu trop cher pour faire un petit tour de pinasse et trop long l'utiliser pour rejoindre Tombouctou, alors on s'est contentés de l'ambiance et du marché. On a aussi assistés à un concert de musique Malienne qui était très bien et pu manger du poisson frais, ce qui commençait à me manquer. J'en profite pour donner toutes mes félicitations à l'ambassadrice d'espagne, qui s'est illustrée sur le plancher de danse.
En rétrospective, on a plutôt bien faits de louer un camion (même si ça aurait été incroyable en moto). Juste en revenant, on a donné un coup de main à deux touristes françaises prises à Mopti entre les mains de gens peu recommandables et ensuite à 3 Peace Corps en panne-sèche au milieu de nulle part. C'est aussi plus facile de négocier les "contrôles touristiques" de la gendarmerie Malienne avec un bon chauffeur. D'ailleurs merçi à Issiaka, qui nous a été recommandé par des amis. Je vous mettrai en contact si vous voulez l'embaucher cette année! Un très bon cuisinier et un excellent mécano. Quand le fil de la pompe à essence a lâché, il a juste pris le fil de la radio pour brancher ça direct sur la batterie. Impressionant.
mercredi 13 août 2008
Daeshiru
Deux paquets de Daeshiru de Ral Partha, des centaures-chat sculptés en 1990 par Richard Kerr. Il en existe trois variétés. Ceux des îles du sud-est de l’empire sont bruns foncés. Ils ont le poitrail ivoire et des taches jaunes avec un point noir sur le reste du pelage (à droite). Ceux du royaume central sont jaunes avec un poitrail blanc et des taches noires avec un point blanc (à gauche). Les Daeshiru du lointain continent nordique sont gris avec un poitrail blanc et des taches noires avec un point doré (pas dans la photo). Comme je n’ai rien trouvé sur le web, je me permets de traduire un petit pamphlet d’introduction culturel :
L’empire Taosu des Daeshiru existe depuis près de 8 siècles. Il est consituté de 4 royaumes, Shir, Raeshan, Dorao et Naraela. Sa dirigeante se donne donc le titre d’Impératrice des 4 Royaumes. L’empire englobe aussi les états Anajir de K’zasho et le bassin multi-ethnique de Rachazo. Les montagnes de Taoshazu sont généralement indiquées comme territoire impérial sur les cartes, mais les Shoji qui l’habitent ne se sont jamais considérés sous le règne de qui que ce soit sauf leur propres chefs tribaux. L’empire s’étendrait donc de la forêt de Birik (domaine des primitifs Bariki) à l’extrême orient jusqu’à la frontière contestée par les Centaures des steppes du nord ouest. L’empire Taosu est en bon termes avec les royaumes nains voisins. Les relations avec les hommes ne sont pas très bonne, mais principalement parce que les seuls contact entre eux jusqu’à date furent au travers de pirates ou de brigands.
La société Daeshiru est divisée par sexe. Les hommes se concentrent sur les vocations académiques ou artisanales alors que les femmes tendent à êtres des organisatrices ou des bureaucrates. À l’intérieur de l’armée, toutes les troupes de ligne sont masculines ainsi que les officiers de terrain. Les officiers supérieurs ainsi que les membres de certaines unités spéciales sont des femelles.
Les officiers portent des bannière dorsales pour s’identifier, la bannière étant plus ou moins grande et élaborée selon le rang de l’officier. Traditionnellement, la bannière du royaume est décorée des queues des guerriers les plus respectés à être tombés au combat, qu’il s’agisse d’amis ou d’ennemis. Le débat persiste toujours à savoir comment honorer les morts des nouvelles races sans queues qui ont été rencontrées.
Une armée Daeshiru est centrées autour de d’archers légers fonctionnant en tirailleurs. Ces troupes sont sans armure et transportent peu de matériel en dehors de leur arc long. Certaines unités possèdent les légendaires Torjuro, des armes rituelles. Les troupes légères forment au minimum 70% de toute armée impériale et ce n’est que dans les garnisons ou dans les campagnes plus sérieuses que l’on trouve des unités plus lourdement armées. Ces unités portent une armure de type brigandine et des armes à deux main. Les nouvelles unités de cette catégorie à être mise en service sont aussi parfois équipées d’arbalètes.
Un troisième type de troupe est encore plus rarement rencontré, sauf lors de parades. Il s’agit de la garde impériale, que l’on reconnaît à leurs armures lourdes similaires à celle de samouraïs. Ils utilisent également les armes à deux mains et arbalètes des troupes lourdes conventionnelles.
Lors de situations de rébellion ou de défense du territoire, il est également possible de retrouver de la milice locale parmi les forces Daeshiru. Ils n’ont pas d’armure et ne portent que des armes archaïques comme des épées à une main, des lances et des boucliers ronds. Certains officiers de l’armée ont tentés d’équiper des unités légères avec des lances, mais il ne s’agit pas d’armes communément utilisées.
Un Daeshiru mesure en moyenne 2,15 mètres et pèse 300 kilos. Mâles et femelles ont la même taille, mais les femelles sont généralement plus costaudes. Les mains ont une apparence très humaine, quoique plus poilue, alors que leurs pattes inférieures sont les mêmes que celles de gros félins. Les Daeshiru sont omnivores, d’une intelligence moyenne et d’alignement neutre. Ils peuvent vivre sous tous les climats. Leur morale va de moyen à élite.
Quand j'ai acheté les figurines, il y en avait 12 paquets. J'ai été brièvement tenté de tout prendre. Malheureusement, je me suis contenté de deux paquets, assez pour du skirmish, pas trop dommageable pour le Serment, mais pas assez de plomb pour me faire une armée de chat-centaures, le rêve de tout homme.
L’empire Taosu des Daeshiru existe depuis près de 8 siècles. Il est consituté de 4 royaumes, Shir, Raeshan, Dorao et Naraela. Sa dirigeante se donne donc le titre d’Impératrice des 4 Royaumes. L’empire englobe aussi les états Anajir de K’zasho et le bassin multi-ethnique de Rachazo. Les montagnes de Taoshazu sont généralement indiquées comme territoire impérial sur les cartes, mais les Shoji qui l’habitent ne se sont jamais considérés sous le règne de qui que ce soit sauf leur propres chefs tribaux. L’empire s’étendrait donc de la forêt de Birik (domaine des primitifs Bariki) à l’extrême orient jusqu’à la frontière contestée par les Centaures des steppes du nord ouest. L’empire Taosu est en bon termes avec les royaumes nains voisins. Les relations avec les hommes ne sont pas très bonne, mais principalement parce que les seuls contact entre eux jusqu’à date furent au travers de pirates ou de brigands.
La société Daeshiru est divisée par sexe. Les hommes se concentrent sur les vocations académiques ou artisanales alors que les femmes tendent à êtres des organisatrices ou des bureaucrates. À l’intérieur de l’armée, toutes les troupes de ligne sont masculines ainsi que les officiers de terrain. Les officiers supérieurs ainsi que les membres de certaines unités spéciales sont des femelles.
Les officiers portent des bannière dorsales pour s’identifier, la bannière étant plus ou moins grande et élaborée selon le rang de l’officier. Traditionnellement, la bannière du royaume est décorée des queues des guerriers les plus respectés à être tombés au combat, qu’il s’agisse d’amis ou d’ennemis. Le débat persiste toujours à savoir comment honorer les morts des nouvelles races sans queues qui ont été rencontrées.
Une armée Daeshiru est centrées autour de d’archers légers fonctionnant en tirailleurs. Ces troupes sont sans armure et transportent peu de matériel en dehors de leur arc long. Certaines unités possèdent les légendaires Torjuro, des armes rituelles. Les troupes légères forment au minimum 70% de toute armée impériale et ce n’est que dans les garnisons ou dans les campagnes plus sérieuses que l’on trouve des unités plus lourdement armées. Ces unités portent une armure de type brigandine et des armes à deux main. Les nouvelles unités de cette catégorie à être mise en service sont aussi parfois équipées d’arbalètes.
Un troisième type de troupe est encore plus rarement rencontré, sauf lors de parades. Il s’agit de la garde impériale, que l’on reconnaît à leurs armures lourdes similaires à celle de samouraïs. Ils utilisent également les armes à deux mains et arbalètes des troupes lourdes conventionnelles.
Lors de situations de rébellion ou de défense du territoire, il est également possible de retrouver de la milice locale parmi les forces Daeshiru. Ils n’ont pas d’armure et ne portent que des armes archaïques comme des épées à une main, des lances et des boucliers ronds. Certains officiers de l’armée ont tentés d’équiper des unités légères avec des lances, mais il ne s’agit pas d’armes communément utilisées.
Un Daeshiru mesure en moyenne 2,15 mètres et pèse 300 kilos. Mâles et femelles ont la même taille, mais les femelles sont généralement plus costaudes. Les mains ont une apparence très humaine, quoique plus poilue, alors que leurs pattes inférieures sont les mêmes que celles de gros félins. Les Daeshiru sont omnivores, d’une intelligence moyenne et d’alignement neutre. Ils peuvent vivre sous tous les climats. Leur morale va de moyen à élite.
Quand j'ai acheté les figurines, il y en avait 12 paquets. J'ai été brièvement tenté de tout prendre. Malheureusement, je me suis contenté de deux paquets, assez pour du skirmish, pas trop dommageable pour le Serment, mais pas assez de plomb pour me faire une armée de chat-centaures, le rêve de tout homme.
lundi 11 août 2008
Chameau
Je pensais habiter une section moderne et branchée de Wemtenga, mais depuis quelques jours, j'arrête pas de croiser des chameaux sur le petit chemin qui mène au goudron. J'ai peur que ma propriété perde de la valeur, je vais alerter l'association de quartier.
Mais sérieusement, ça réveille, le matin, de contourner un chameau. En plus, même si son proprio est pas loin, ça n'a pas l'air trop docile. Comme tout le monde, je vais probablement éventuellement aller dans le Sahel en faire un petit tour. En attendant, je suis à la recherche d'un bon ranch pour mettre à jours mes incroyables talents de cavalier. J'avais lu que les sports équestres étaient très populaire à Ouaga, mais j'en ai pas vu à date.
Mais sérieusement, ça réveille, le matin, de contourner un chameau. En plus, même si son proprio est pas loin, ça n'a pas l'air trop docile. Comme tout le monde, je vais probablement éventuellement aller dans le Sahel en faire un petit tour. En attendant, je suis à la recherche d'un bon ranch pour mettre à jours mes incroyables talents de cavalier. J'avais lu que les sports équestres étaient très populaire à Ouaga, mais j'en ai pas vu à date.
vendredi 8 août 2008
Pavis
Pour les braves qui marcheront loin, confiants qu'Orlanth l'Aventureux promit d'aller chercher l'âme des siens, peu importe l'endroit étrange de leur décès.
Pavis est la seule ville de la Grande Désolation, Prax. C'est le seul point de civilisation dans une étendue aride couverte d'étranges tribus nomades montées sur des bêtes exotiques. Ville à l'histoire ancienne, c'est un repaire d'aventuriers de passage, cherchant à faire richesse rapidement grâce aux ruines ou à quelqu'autre plan douteux.
On retrouve en fait deux Pavis sur le bord du Zola Fel, le Fleuve des Berceaux. La Nouvelle Pavis, récemment passée sous législation lunaire et les ruines de l'ancienne Pavis, un avant-poste des Érudits de l'Ambigu, une civilisation disparue remontant au deuxième âge.
Il y a très longtemps, Waha, Dieu des monteurs d'animaux et fils du Taureau-Tempête, descendit des montagnes avec des géants venus venger leur progéniture volée. Accompagnés de tous les Khans monteurs d'animaux, ils éradiquèrent les monteurs de chevaux qui leur avaient pris l'endroit. Les géants plantèrent dans le sol d'immenses blocs de pierre pour former une gigantesque enclave d'où les monteurs d'animaux pourraient défendre leur terre et lancer des expéditions dans Prax en entier. La ville d'Adari fut mise à sac et le jeune Pavis se réfugia dans la passe du Dragon, alors domaine de l'Empire des Amis des Wyrms.
Quelques années plus tard, Pavis revint commandant une statue cyclopéenne et allié de monteurs de chevaux. Ils vainquirent les nomades Praxiens. Les géants fuirent vers les montagnes et ne revinrent jamais. Waha fut blessé par la statue dans la bataille et Pavis le soigna. Ce geste d'appaisement plu aux monteurs d'animaux. Une trève fut conclue, démontrant la grande tolérance et la capacité d'unificateur de Pavis.
Après la bataille, la statue cyclopéenne s'effondra, vidée de son énergie magique. Des Mostalis (nains) vinrent prêter main forte à Pavis et utilisèrent les restes de la statue comme une immense carrière pour batir une cité à l'intérieur des murs. Pavis se retira alors dans son palais et laissa le soin aux dignitaires de la ville de se nommer un nouveau roi. Il n'en ressortit jamais, devenant l'esprit de la ville.
Pavis devint un endroit prospère et très convoité. Plusieurs attaques furent repoussées, y compris une alliance de géants et de Trolls. Ce n'est que bien des années plus tard qu'un Khan à moitié fou de la tribu des monteurs de Bisons, allié aux monteurs d'Impalas, parvint à percer les murs de l'Ancienne Pavis et à la piller pour une première fois. À partir de ce moment, les citoyens de Pavis durent vivre sous le joug des raids répétés des monteurs d'animaux. 17 rois de Pavis tentèrent de s'interposer, mais furent terrassés les uns après les autres. Désespérés, les Pavisites firent appel à une reine Troll, dont l'armée mit en déroute les nomades Praxiens, mais pris également possession de la cité. C'est depuis ce jour que des Trolls y vivent.
En 1539 se déroula le fantastique événement appelé Rêve des Dragonewts. Des Dragonewts oniriques, semi-corporels, se mirent à affluer vers les ruines de Pavis pour y ériger des quartiers fantômatiques et y faire d'étranges rituels. Les portes scellés par les Trolls ne purent résister et s'ouvrirent avec fracas. Le passage vers la Grande Ruine était à nouveau possible.
En 1550, des réfugiés Héortiens dirigés par Dorasar, petit-fils du roi de Sartar, fondèrent la Nouvelle Pavis, à l'extérieur des ruines, mais appuyée contre ses murs. Ils y parvinrent par une alliance avec les Monteurs de Sable (type d'antilope), les monteurs de zèbres et les Mostalis. L'endroit était toujours dangeureux, mais les richesses que recelaient les ruines en valait la peine.
Finalement, en 1610, les généraux lunars mirent au point une stratégie pour pacifier le Pays Saint, en le prenant en tenaille par voie de mer. Pour celà, malgré la neutralité officielle de Pavis dans le conflit entre Lunaires et Orlanthis, l'empire avait besoin de la cité pour rallier Corflou, le port tout au bout du Zola Fel. Une grande armée marcha sur Prax et vainquit une alliance fracturée de monteurs d'animaux et de barbares Héortiens lors de la bataille de Bouillon de Lune. Les fermiers Yelmalions du compté du soleil voisin choisirent sagement de ne pas s'en mêler.
Pavis ouvrit ses portes à l'Empire et depuis, une garnison permanente se charge de maintenir la loi, de récolter les taxes et de garder Trolls, barbares et nomades à l'écart. Malgré l'insatisfaction de certains, il n'est pas possible de nier que l'occupation a fait décoller la prospérité de la cité, ne serait-ce qu'en lui ouvrant l'empire lui-même comme débouché pour ses marchandises.
jeudi 7 août 2008
Jaunisse
Mon dernier petit extra-terrestre. Marv m'a donné le goût de le faire en jaune. Comme les autres, c'est pas évident d'identifier sa morphologie. Il a une grosse tête, des petits bras et ce qui semble être plusieurs petites jambes. Il est vaguement crustacé, même s'il semble être prisonnier d'une grosse feuille mauve (grosse douceur?). En tout cas, je commence à comprendre la théorie impériale de suprémacie humaine. Faut nettoyer l'impur!
mercredi 6 août 2008
Harby
Une chouette figurine d'Hasslefree qui vient avec des morceaux interchangeables permettant de faire un sosie d'Hellboy ou encore un sosie du gros thug de Sin City. J'ai décidé de faire un hybride, c'est plus drôle. Il est très bien sculpté, surtout sa petite tête, mais je trouve sa jambe un peu raide. Il n'est pas très années 20, mais avec son gros bras méchant, il fait quand même très Pulp. J'aimais bien le Doc Savage, qui était un peu plus fantastique comme littérature. Harby ferait un bon opposant à l'homme de bronze.
Il serait pas mal plus impressionnant avec une base, mais j'ai pas de matériel pour en faire... J'ai aussi brièvement songé le faire en noir et blanc, mais j'aurais alors dû lui trouver des accompagnateurs dans les mêmes teintes. Je suis bien satisfait du bras par exemple. Il n'est pas d'un rouge trop brillant.
Il serait pas mal plus impressionnant avec une base, mais j'ai pas de matériel pour en faire... J'ai aussi brièvement songé le faire en noir et blanc, mais j'aurais alors dû lui trouver des accompagnateurs dans les mêmes teintes. Je suis bien satisfait du bras par exemple. Il n'est pas d'un rouge trop brillant.
lundi 4 août 2008
Sabah et Glorantha
Je suis allé faire un petit tour de moto dans les alentours de Ouaga, passé Sabah (la ville où les gens mangent du chien) acheter des fruits de Karité et essayer du boudin, la spécialité locale. Il est moins dense que le boudin des pays du nord, mais avec la température, c'est peut-être mieux comme ça. Mes chroniques culinaires n'enchantent pas tout le monde, mais dans ma famille, on aime manger, alors voilà. On avait plusieurs départs de volontaires court terme à célébrer, j'ai donc aussi pu essayer la surprenante pizza à la tartiflette d'un restaurateur français. C'était vraiment très bon et comme il ne faisait pas trop chaud ce soir là, j'ai pu me bourrer de Reblochon sans gêne.
Depuis le temps que j'en parle, j'ai décidé de faire une mini-campagne d'Heroquest, la version narrativiste de Glorantha. C'est centré sur Pavis et les joueurs sont des marchands Pavisites campagnards de la deuxième vague, donc des Heortiens de culture. Je préfère les cultures solaires et lunaires, mais bon, je peux pas tout décider quand même! Au moins ça va être urbain, ce qui change de ma dernière campagne de fantasy. Les personnages sont faits et juste le temps de quelques modifications aux relations, on devrait s'y mettre. On verra à quel point on peut rendre ça héroïque. Juste de jouer avec les règles, ça m'a redonné le goût de mettre la main sur Mythic Russia, une adaptation du système Heroquest qu'a faite un docteur d'histoire Russe. Je suis un fan de Glorantha, bien sûr, mais le mysticisme slave a quelque chose de bien attirant aussi!
Depuis le temps que j'en parle, j'ai décidé de faire une mini-campagne d'Heroquest, la version narrativiste de Glorantha. C'est centré sur Pavis et les joueurs sont des marchands Pavisites campagnards de la deuxième vague, donc des Heortiens de culture. Je préfère les cultures solaires et lunaires, mais bon, je peux pas tout décider quand même! Au moins ça va être urbain, ce qui change de ma dernière campagne de fantasy. Les personnages sont faits et juste le temps de quelques modifications aux relations, on devrait s'y mettre. On verra à quel point on peut rendre ça héroïque. Juste de jouer avec les règles, ça m'a redonné le goût de mettre la main sur Mythic Russia, une adaptation du système Heroquest qu'a faite un docteur d'histoire Russe. Je suis un fan de Glorantha, bien sûr, mais le mysticisme slave a quelque chose de bien attirant aussi!
vendredi 1 août 2008
Le Serment #16
L'avantage d'être à Ouaga, c'est que c'est un peu difficile de se laisser aller à des pulsions d'achat! Même sur ebay, avec les frais de transport, les encans les plus tentants deviennent moins alléchants. J'ai même pas biddé sur un E.T. et une bande de singes de la planète des singes. Donc aucun achat ce mois-çi. J'ai fait les fantassins de base de Bauhaus et la moitié de la résine de Fenryll.
Achetés: 0
Peints: 47
Balance de juillet: 47
Total à vie: 132
Pas surprenant, je veux finir la résine au mois d'août. C'est pas énorme, mais on attends la visite d'une amie, alors on va faire un peu de tourisme et je veux faire un peu de moto, ça m'a manqué. C'est une bonne manière de visiter le Burkina. Puis le médecin de ma clinique va venir avec nous, alors où est le risque!
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Peints: 47
Balance de juillet: 47
Total à vie: 132
Pas surprenant, je veux finir la résine au mois d'août. C'est pas énorme, mais on attends la visite d'une amie, alors on va faire un peu de tourisme et je veux faire un peu de moto, ça m'a manqué. C'est une bonne manière de visiter le Burkina. Puis le médecin de ma clinique va venir avec nous, alors où est le risque!
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