Deux autre de mes figurines de Fenryll, un nécromant et une ghoule, probablement son assistant et compagnon maltraité. À force de lire des trucs de Mordheim, je me suis donné le goût de les peindre. Je sais pas pourquoi, mais le nécromant m’intimidait, il semblait plein de petits détails. En fin de compte, c’est plutôt l’inverse, il a beaucoup de grandes surfaces planes et les fioritures n’ont demandé qu’un petit wash par dessus une couche paresseuse de métallique. J’étais hésitant entre faire un effet de lumière ou faire du freehand pour mettre plein d’écritures sur sa toge. La lumière c’est plus drôle, un petit Bodaï créateur de morts-vivants. J’avoue qu’en y repensant, j’aurais pu combiner les deux idées, mais bon, ça aurait peut-être été trop chargé.
On a aussi fait une première partie des Colons de Catane avec un Burkinabé, qui était bien hilare du thème villageois de moutons et de briques d’argile. Il a gagné en plus, c’est beau la chance du débutant. Je me dis toujours que je devrais commencer par montrer Thurn and Taxis, question de faire changement, mais les Colons, c’est si facile comme introduction. Il venait offrir une petite dégustation de thé à notre amie avant son départ. À mon arrivée j’avais de la misère avec ce thé hyper-concentré et très sucré, mais je m’y habitue de plus en plus. Notre amie a de la famille marocaine et à son avis, le thé Burkinabé est une coche supérieure dans l’échelle de l’intensité.
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