jeudi 17 janvier 2013

Partie 101

J'ai gagné le jet de commandement et j'ai choisi l'initiative. Les deux côtés de tables me semblant très balancés (j'espère, c'est moi qui l'a montée), il me semblait y avoir peu d'avantage à choisir un côté plus que l'autre. J'ai gardé mon Tsyklon Spitfire en réserve.

Le ninja et l'Oniwaban ennemis, ont tous les deux échoués les infiltrations qui les auraient placés sur les objectifs, prêts à abattre mes ingénieurs. Avec le premier tour aux nomades, c'était un dur coup. Le Tsyklon fut déployé exactement au bon endroit pour mitrailler le ninja, ce qu'il fit, son spitfire plus efficace que les esquives d'un... ninja. N'empêche, le -6 m'irritait et je ne voulais pas risquer de gaspiller trop d'ordres. C'est mon TAG qui est allé brûler l'autre, au lance-flamme lourd. Souhaitant mettre de la pression sur mon adversaire peut-être démoralisé de ces pertes, je n'ai pas envoyé Pi-well protéger le Szalamandra ou effectué de retraite tactique J'avais peut-être aussi un peu peur qu'il ne me batte de vitesse à télécharger les données convoitées. Ils sont rapides ces japonais.


J'ai plutôt parachuté mon premier Tomcat ingénieur. Il a activé le premier techno-bidule, révélant que les informations requises se trouvaient dans celui du centre. Il est parti en courant, télécharger l'information puis s'est caché derrière le TAG. On peut faire pire comme cachette...

Les japonais se sont repris de manière spectaculaire.  Une première infanterie lourde s'est déplacée pour balancer un Descanze In Paz à mon TAG, lui infligeant sa première blessure.





En ordre combiné, une deuxième infanterie lourde joignit les tirs de son boarding shotgun à l'assaut. Le TAG fut encore endommagé et le pilote paniqua, retraitant à couvert. Les japonnais ouvrirent le feu sur l'ingénieur qui tentait de se trouver une nouvelle cachette, le criblant de chevrotine.






Le Szalamandra a fini par en placer une dans le front de l'infanterie lourde maniant le MK12, mais son collègue au shotgun finit le travail, explosant mon beau TAG.

Bien embêté entre envoyer Carlotta ou la Daktari, j'ai choisi d'envoyer le docteur. C'est mon Tsyklon qui est en fait devenue la star du match à partir de ce tour décisif. Sa première cible fut le hacker adverse, qui s'était dévoilé. Ça a permis à mes hackers de dominer aisément pour le reste de la partie. Le Tsyklon a lancé un marqueur, l'Interventor immobilisant l'infanterie lourde au shotgun. Ma Daktari s'est dépêchée à osculter le Tomcat... mais l'a tuée dans l'énervement... Oups! Elle est retournée se cacher derrière un panneau pendant que je m'inquiétais encore pour les données... En plein milieu de la table, la guerre d'attrition devenait rude.


L'ingénieur Japonnais tira sur mon répéteur, permettant à son infanterie lourde de sortir de la zone de contrôle des hackers sans trop de problèmes. Il tenta de s'attaquer au Tsyklon, mais miracle, le remote encaissa une première salve et abattit son ennemi sur le second échange! Une 3e infanterie lourde japonaise fut dépêchée, pour mettre des AROs contre le cadavre de mon ingénieur.

Mon Tsyklon lança son 2e marqueur, le lieutenant Interventor, aidé de l'EVO et de Zoé, il faut l'admettre, hacka aisément la nouvelle infanterie lourde. Le Tsyklon tua l'ingénieur japonnais et se positionna pour achever l'infanterie lourde. Malgré les explications de mon honorable opposant, j'avais complètement oublié qu'ils explosent quand ils meurent...

Heureusement, ce remote est instopable! Avec un peu moins de peinture sur sa carosserie mais à court de carburant (ordres) il se tenait prêt à défendre la tête de pont nomade!

Les japonnais déployèrent leur infanterie plus légère, mais il y eu d'autres pertes avant que le valeureux remote ne soit détruit. Il résista même à une grenade électro-magnétique, c'est tout dire!

À ce point, j'avais presque la victoire, sans hacker ou ingénieur, il ne pouvait que provoquer une nulle en tuant les miens. J'ai essayé de balancer des grenades par un forward observer de hacking device +, mais c'était trop imprécis. Carlota a donc fait son parachutage, mais j'étais résolu à être moins téméraire que d'habitudes. Elle monta sur la bâtisse et tua le lieutenant adverse. Elle se remit à couvert, prête à défendre chèrement sa vie.

Heureusement il ne restait que 3 japonnais et ils battirent en retraite, laissant le champ libre aux techniciens nomades pour inspecter les techno-bidules, encrypter les données et les envoyer par satellite sécurisé être décodées.

Un beau 4 xp et 151 pts de nomades toujours vivants. J'ai raté mon jet de promotion, j'avais oublié de dépenser mes xp avant de le faire. J'ai donc décidé d'investir dans la spécialité de logistique, Avec un +3 la prochaine fois et possiblement un autre niveau avant le jet (il ne me manquera que 3 xps), j'améliore mes chances.

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