Comme nous nous sommes lancés dans l’élevage des pigeons (italiens et burkinabés), j’ai voulu tester ses qualitées culinaires. On en a achetés deux qui ont marinés dans du miel du Burkina pendant une journée. Le miel ici est assez fort, essentiellement un miel de millet. La marinade a été déglacée en fin de cuisson avec du jus de lime et un peu de Brakina. Ça en fait un plat très local!
Malheureusement, les pigeons sont un peu coriaces. Ils sont plus gros que les cailles, mais étant élevés un peu en liberté, ils sont plus musclés et moins tendres. On verra si j’arrive à faire mieux de mes pigeons, car ils ne bougent pas trop et sont nourris aux arachides. En tout cas, la chair est très goûteuse, surtout dans les parties charnues de la poitrine. Si mes pigeons se promènent moins, j’ose croire qu’ils auront également des cuisses plus généreuses. C’est certain que l’âge des pigeons aussi a dû jouer. On élève pour manger les jeunes, dont l’alimentation sera contrôlée. En téka, on verra bien. Puis les tomates ainsi que les poires cannelles sont presque prêtes. Je pourrais peut-être faire un mijoté la prochaine fois.
1 commentaire:
ah bon, je pensais même pas que ça se mangeait du pigeon.on vient de trouver une utilité aux 4 millions qui vivent à montréal.
ah et je crois que le mijoté serait une bonne idée, car si la viande est coriace, ça permettrait d'être plus tendre si ça cuit longtemps dans le jus.
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