dimanche 25 septembre 2016

Généraux mortels

1000pts empire vs elfes, du scénario lonely cabin. On a eu le temps de le faire deux fois, la première partie s'étant conclue en 5 tours sur la mort d'un général et la deuxième au coucher du soleil, à la fin du 6e.

Mon premier déploiement probablement un peu trop étendu. J'ai pris la même liste qu'à la dernière partie, souhaitant tester d'avantage le steam tank. Sans parler que le blizzard rendait le Hellfire plus explosif qu'intéressant.

Habitué à un petit nombre de héros, les elfes se sont déployés de manière plus concentrée.

Mes cavaliers du flanc est ont fait une belle percée confiante, pour menacer les aigles et les patrouilleurs elfes (proxy sur Wargs...)

Malheureusent... la brigade principale et l'artillerie sont restés dans leur zone de déploiement.... Un trop gros bloc de troupes à diriger peut-être ou des ratés de chaudière sur le steam-tank?

Profitant de l'absence de support de la cavalerie impériale de l'ouest, les elfes ont convergés dessus pour la repousser vers la forêt... pas bon pour les chevaux, ça.

Pendant que ma cavalerie de l'est se vengeait en chargeant les aigles, les Heaumes d'argent se sont attaqués à la petite brigade d'infanterie de l'ouest et ont continués à repousser les chevaliers impériaux.

Toujours sans support d'infanterie, ma cavalerie ouest a été encerclée et éradiquée par les elfes. Le général tué, mes troupes sont parties en fuite... Pour ce premier round, les elfes repartiraient avec leur sorcier. Qui sait par quel exorcisme ils sauront le neutraliser.

La première partie s'étant rapidement résolue, on en a fait une autre. Je l'ai laissé se déployer en premier et ai positionné mes troupes surtout à l'ouest, pour le forcer à étirer ses lignes de commandement. J'ai aussi sorti le Steam Tank des grosses brigades. Je crois qu'il est étrangement mieux comme tirailleur et irritant des lignes ennemis que comme "enclume".

Les elfes ont eu le même problème que j'ai eu à la première partie. Le centre a sombré dans la confusion alors que les flancs se sont avancés sans trop de support. J'ai réfréné l'impétuosité des chevaliers du Reik et me suis concentré à déployer l'infanterie de manière à mieux les supporter dans les tours futurs. Des arquebusiers dans une forêt, c'est comme un HMG le jour J.

On voit que l'expérience des généraux commence à rentrer. Les lignes se sont approchés en bon ordre pour se supporter. Les tirs impériaux ont mis les archers elfes en confusion, mais les piquiers du Roi des Elfes ont montrés leur supériorité en éradiquant une unité d'arbalétiers puis en repoussant les hallebardiers, confus, contre les murs de la tour du sorcier.

Pendant que les blocs d'infanterie s'affrontaient pour le contrôle du centre de la table, les manoeuvres sur le flanc ouest avaient permises à l'empire, malgré la perte d'une unité complète d'hallebardiers, de pratiquement éliminer les deux unités de Heaumes d'argent.

Le Roi des Elfes était en fort mauvais posture. Par miracle, ses Heaumes d'Argent lui permirent de s'extirper de cet encerclement. Il partit à toute jambe diriger les choses ailleurs sur le terrain de bataille. Si vite en fait que la base de cavalerie est encore à ce jour sur la table, chez-moi, bien seule sans son général.

Les unités rapides de l'empire se mirent à converger sur la tour, forçant le reste de l'infanterie elfe à battre en retraite. Alors que le soleil se couchait, le blizzard s'intensifiait. Est-ce que les elfes avaient fuit devant les hommes ou devant une terrible invocation du sorcier corrompu dans la tour...

samedi 24 septembre 2016

Le sorcier de la tour

"Je suis assis ici, mon parchemin éclairé d'une seule bougie. J'écris. Le roi des elfes arrive, je reconnais les bruits de sabot des Heaumes d'Argent. Bientôt, ce sont les troupes du compte électeur qui se mettront en rang. N'est-ce pas le bruit des hallebardes que je décerne à travers le vent? Le Haut-roi n'a jamais accepté ma trahison. Mon départ du bourg ne s'est pas fait dans le silence et la discrétion non plus...

J'écris pour Celui qui est Caché, l'Apôtre du Seigneur du Changement. Puisse-t'il trouver ce message. Il est l'unique espoir de ce monde. Notre seul espoir."

À travers un blizzard (un niveau de défense de plus pour les troupes contre le tir), les deux armées cherchent à capturer un sorcier qui s'est enfermé dans une tour isolée.

lundi 19 septembre 2016

Soldats de l'aigle

Le plastique est arrivé, planifions notre commando de l'antiquité! En campagne, les bandes ont 150pts pour se lancer à l'aventure.

Comme chef, je vais me prendre un Centurion avec bouclier Scutum, question de profiter de la règle spéciale des romains. Le Primus Pilus est vraiment cool avec ses bénédictions divines, mais le jeu indique qu'il est fait pour 7 à 12 figurines... j'imagine que ce serait bien que je me rende à 7 figurines dans mon budget.

Le centurion sera accompagné de deux gardes Praetoriens, pour un total de 75pts de héros bien armurés. Je vais laisser tomber l'espion. Le concept est cool, il me fait penser à Astérix chez cléopâtre, mais je ne penses pas avoir de figurine aussi amusante dans ma collection.

Je vais ajouter une équipe de scorpion à 35pts, ce n'est pas l'artillerie la plus puissante, mais je me dis que c'est comme le lascanon à Nécromunda. Des fois, il y a des armes qui sont juste un peu trop puissantes pour valoir la peine en skirmish...

Je vais prendre un légionnaire avec standard parceque c'est chouette en terme de modélisme, mais je la paierai plus tard ainsi que deux autres légionnaires standard. Tant pis pour la troupaille auxiliaire, le reste des points servira à payer deux pilums, qui seront sûrement utiles pour ramollir un peu certains monstres.

Les faiblesses sont un peu évidentes. Avec toutes ces armures lourdes, ils sont lents et n'ont pas de compétences spéciales pour traverser le terrain difficile. Le Scorpion devrait quand même empêcher d'être trop vulnérable envers une bande qui investirait fortement en tir. Ils sont peu nombreux... mais les romains sont solides. Dans le pire des cas, on se trouvera une amazone ou un centaure mercenaire pour équilibrer le tout, quand l'or et l'infamie (points de victoire) rentreront à la pelletée!

dimanche 18 septembre 2016

Ruines pré-AoS

Les deux premiers objectifs peints, un elfique et l'autre impérial. Les pilleurs à dos de Wargs sont présents pour l'échelle.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas peints de crânes!

samedi 17 septembre 2016

Objectifs 10mm

Modélisme pour des objectifs de Warmaster. Une base en résine avec une vieille ruine elfique (job de gazon à venir), une base de champignons géants, une statue impériale et une version améliorée d'un héros de l'empire, pour mener mes troupes à la victoire.

dimanche 11 septembre 2016

Général persévérant

Voyant les troupes impériales se déployer en formation, les elfes ont décidés de prendre l'initiative. Un peu de proxy, mais une liste assez directe.

Une unité de grands aigles, deux cavalerie lourde Heaumes d'argent, deux unités d'archers et quatre solides unités d'infanterie. Très bon choix puisque la colline centrale avec les ruines n'était pas accessible à la cavalerie.

L'infanterie elfe s'est donc rapidement dirigée vers les ruines pour profiter de la position fortifiée. Pendant ce temps les grands aigles infligeaient quelques pertes à la brigade centrale. Ils reculèrent d'un centimètre alors que les aigles se positionner plus loin pour déchiqueter quelques humains pris dans leurs serres.

Alors que les deux unités de cavalerie lourde se toisaient, l'artillerie impériale entra en action, dans un nuage de fumée. Les projectiles des magiciens de l'école du feu, les boulets de canon, le steam tank, les pistoliers et les arbalétiers infligèrent des pertes minimes, mais la surprise repoussa les elfes dans le désordre, au bas de la montagne, les unités principales se retrouvant confuses.

C'est la cavalerie elfique qui chargea la première. Elle était numériquement inférieure, mais transportait une bannière magique qui permit d'équilibrer les choses. Chaque unité se replia, avec des pertes équivalentes.

L'affrontement était féroce sur la colline, mais entre les ruines, la forêt et la couverture offerte par le terrain montagneux, il était difficile d'arriver à un autre résultat que des replis temporaires. La tension était malgré tout à son comble, puisque des renforts arrivaient de chaque côté.

Souhaitant briser l'équilibre des forces, après avoir éradiqué la cavalerie elfique du front est, une partie de la cavalerie impériale et le général passèrent à travers une percée pour menacer le manoir elfique. Heureusement, le roi des elfes ne prit pas la menaces à la légère et parvint à faire pivoter, rattraper puis charger l'unité adverse.

L'artillerie impériale continuait à pilonner les troupes elfiques, qui ne subissaient pas de lourdes pertes, mais qui se retrouvaient paralysées.

La dernière unité de Heaumes d'argent tenta d'empêcher des hallebardiers de prendre l'infanterie elfe à revers, mais ce sont les courageux humains qui l'emportèrent.

Malheureusement, les elfes finirent par repousser le général et sa cavalerie hors du terrain. Il avait beau manœuvrer comme un diable, revenir 2 fois, mais il fut éventuellement isolé et tué par le roi des elfes. Assurément en glorieux combat singulier. Sa chute mit en déroute l'armée impériale. Victoire des elfes!

vendredi 9 septembre 2016

Hauts Elfes vs Empire

La nuit passée, le petit hameau sur la colline, près d'une retraite de dignitaires Hauts-Elfes a brûlé. Le compte-électeur y a tout de suite vu comme origine le souffle des dragons utilisés comme montures par les elfes. Une expédition punitive doit être montée!

Déploiement à 18 pouces des petits bords de table. 5 + 1D3 tours de jeu avant le coucher du soleil, à rouler au 5e tour. Un pt pour avoir une unité sur la colline centrale contenant les ruines, un point pour avoir détruit l'unité adverse la plus puissante (au choix de son général en cas d'égalité), un pt pour avoir une unité au contact d'un bâtiment ennemi. Nombre de pts restants comme tie-breaker au besoin.


Pour pallier à l'avantage "maison", j'ai décidé de déployer l'armée impériale en premier. Quelques canons sur la montagne, protégés par une unité d'arbalétriers et une brigade d'hallebardiers plus arbalétiers.

Plus loin, vers le centre, une brigade composée d'un Steam-Tank, une unité d'hallebardiers et une unité d'arquebusiers, question de montrer à la cavalerie elfe ce qu'une bonne rafale de plomb peut faire.

Finalement à l'ouest complètement, deux unités de chevaliers dirigés par le général. Ils sont séparés car j'aimerais en garder une en réserve pour prévenir des encerclements. Les elfes sont très mobiles et ont le commandement ainsi que les unités volantes pour faire des manœuvres impressionnantes.

samedi 3 septembre 2016

Battle Troll - la butte à chaux

Test des règles de Battle Troll! Eyvind est un viking à qui tout a réussi. Depuis Constantinople, il revient en Islande pour visiter son frère. Toutefois, le cruel Hrafnkel profites de l'occasion pour se venger, suite aux moqueries des laveuses de linge.

Le groupe de Hrafnkel a rapidement atteint la butte à chaux, sauf un Karl qui a tombé en essayant de courir. Malgré quelques jets de pierre et la perte d'un soulier (!), Hrafnkel et un Huscarl (troupe intermédiaire) sont parvenus grimper la butte et à entreprendre le combat épique contre Eyvind. Malgré son succès commercial, c'était un redoutable guerrier (3 avantages), bien plus aguerri que Hrafnkel (1 défaut) qui ne parvenait qu'à asséner des blessures grâce à un avantage numérique.

Profitant de sa condition de païen (et ça se voudrait futur croisé...), Odin a donné un éclair de génie à Eyvind, qui est parvenu à se relever adroitement tout en infligeant une sévère blessure à Hrafnkel, qui en a échappé son arme.

Hrafnkel a utilisé son bouclier tout en cherchant son arme au sol, pendant que son Huscarl parvenait à infliger quelques blessures à Eyvind. Il en devint même hautain, se permettant quelques insultes qui firent mouche à l'égard du héro!

Les renforts constitués du frère d'Eyvind tardaient à arriver et il fut éventuellement terrassé par l'outrecuidant Huscarl. Malheureusement pour Hrafnkel, sévèrement blessé dans l'échange, il ne pourrait profiter de sa victoire puisque la famille d'Eyvind s'était finalement pointée et qu'il n'était plus de taille pour se battre.

Victoire de la famille d'Eyvind. Pas de calcul précis de leurs réputations respectives, mais probablement une légère augmentation. Les insultes étant compensées par les nombreux coups assénés de part et d'autre.

C'est un jeu avec beaucoup de hasard et d'humour, très beer and pretzel, qui doit prendre tout son sens en campagne. En partie isolée, la réputation avait peu d'importance, alors il était moins tentant de lancer des insultes ou de tenter des attaques trop risquées. En campagne, la réputation est la monnaie qui permet de recruter et d'amasser du butin comme... une grosse ferme, des moutons ou autres trésors de l'époque!